Depuis le 4 novembre 2022, l’indice de réparabilité concerne quatre nouvelles familles de produits : les lave-vaisselle, les lave-linge « top » à chargement par le dessus, les nettoyeurs à haute pression et les aspirateurs. Cet indice était déjà apposé depuis le 1^er janvier 2021 sur cinq familles de produits : les lave-linge à hublot, les smartphones, les ordinateurs portables, les téléviseurs et les tondeuses à gazon.

L’indice de réparabilité, instauré par la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, permet au consommateur de choisir ses équipements en fonction de la facilité de réparation en cas de panne, de la disponibilité des pièces détachées, etc.. Il devrait évoluer à partir de 2024, lorsque la note de réparabilité sera absorbée au sein d’un nouvel indice de durabilité, en cours de création.

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Une information utile mais encore insuffisante pour les consommateurs

Pour l’UFC-Que Choisir l’indice de réparabilité est encore bien insuffisant pour véritablement éclairer les consommateurs et demande une réforme en profondeur.

Par ailleurs, le contexte actuel de crise énergétique souligne l’importance de choisir des appareils moins énergivores. Attention aux promotions affichant des prix attractifs sur un lave-linge, un réfrigérateur ou un lave-vaisselle : elles portent parfois sur des modèles déjà anciens, classés F ou G. L’étiquette énergie, malgré ses imperfections, vous donnera une idée de la consommation de l’appareil et vous permettra peut-être d’orienter votre choix vers un modèle plus économe au quotidien.

Afin de promouvoir une consommation responsable, l’UFC-Que Choisir se bat pour la généralisation de l’étiquette énergie mais aussi pour un renforcement des contrôles et un affichage du coût d’usage et de la durée de vie des produits électroménagers.